Nouvelles motorisations pour la Seat Leon
La semaine dernière, la gamme de vente Seat Leon a été mise à jour en matière de motorisations. Objectif principal : augmenter l’efficience.
Des blocs essence retravaillés
Sur quels blocs cette mise à jour opère-t-elle des changements ? Tout d’abord, l’essence 1,2l TSI de 105 chevaux qui est remplacé par un 1,2l TSI de 110 chevaux. Un peu plus puissant et coupleux (175 Nm), le second consomme autant que le premier – 4,9 litres au 100 km en moyenne – et ne rejette pas plus de CO2 (114 g/km). Autrement dit, le TSI 110ch a un meilleur rendement.
C’est ensuite au tour d’un autre bloc essence, le 1,4l TSI de 122 chevaux, d’être remplacé par une version légèrement plus puissante mais pas plus polluante. On trouve désormais à la place un 1,4l TSI de 125 chevaux (200 Nm de couple) qui rejette 120 g/km de CO2 et consomme 5,2 litres au 100 km en cycle mixte.
Notez que ces deux nouvelles motorisations sont disponibles sur toutes les versions de la Seat Leon, à savoir cinq portes, trois portes (SC) et break (ST).
L’ACT fait son entrée sur la Seat Leon
La technologie de désactivation de cylindres, que l’on appelle ACT (Active Cylinder Technology) chez Volkswagen et Seat, n’existait jusqu’à présent que sur l’Ibiza. Mais la Leon n’en est désormais plus privée puisque le 1,4l TSI ACT est désormais disponible avec la compacte.
Il a même été amélioré par rapport à celui de la citadine puisqu’il est désormais couplé à une puissance de 150 chevaux. Ce moteur déjà certifié Euro 6 affiche une consommation de seulement 4,7 litres au 100 pour 109 g/km d’émissions de CO2. D’excellents résultats pour un bloc essence, qui plus est de 150 chevaux !
Comment fonctionne l’ACT ? Il désactive deux cylindres sur quatre lorsque l’auto n’a pas besoin de toute sa puissance (entre 1 400 et 4 000 tours par minute et en-deçà de 130 km/h).
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