Le cockpit virtuel de l’Audi A4 en images
Le « Virtual Cockpit » équipera la nouvelle Audi A4.
L’instrumentation digitale sur l’Audi A4
En juin dernier, le constructeur premium Audi nous annonçait l’arrivée de la cinquième génération d’A4. Attendue de pied ferme sur le salon de Francfort, la berline familiale, modèle le plus vendu par la marque allemande, recevra parmi ses équipements le fameux cockpit virtuel que l’on a déjà pu voir sur la nouvelle Audi TT ou le Q7.
Audi s’est même fendu d’une vidéo pour annoncer cette nouveauté. On y découvre ou redécouvre toutes les fonctionnalités du système, à savoir une instrumentation à affichage entièrement digital, capable de montrer aussi bien les compteurs et les informations standards que le contenu d’info-divertissement habituellement monopolisé par le MMI.
À quelques pas du futur
Le fonctionnement est simple : directement via son volant multifonction et sur un écran 12,3 pouces LCD haute définition, le conducteur de la nouvelle Audi A4 pourra consulter sa vitesse, son compte-tours, sa consommation mais également gérer la radio, sa musique, son système de navigation, son téléphone et ses services connectés.
L’équipement se divise en deux affichages interchangeables à tout moment via une simple pression sur un bouton : le mode « classique » où les compteurs sont mis au premier-plan avec diverses informations sur la conduite au centre; le mode « infotainment » où ils sont rapetissés afin de mettre en avant les fonctionnalités d’info-divertissement (voir photo ci-dessus).
Option ou pas option sur l’Audi A4 ?
Egalement disponible sur la déclinaison break du modèle – l’Audi A4 Avant – ce tableau de bord du futur est un bijou de technologie et d’ergonomie qui permet à la firme aux anneaux de se démarquer de ses concurrents BMW et Mercedes.
On ne sait pas encore comment il sera déployé sur la gamme française. Sachant qu’il est de série sur quasiment toutes les versions des Audi TT et Q7, on peut espérer le trouver en haut de gamme sur l’A4. En Allemagne, c’est une option à 500 euros. Espérons un traitement différent en Hexagone.
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