Le break Clio Estate dans les starting block
Renault avait dévoilé au Mondial de l’automobile 2012 la Clio IV ainsi que sa déclinaison break et sa version sport R.S 200 EDC. Comme nous vous l’avions déjà précisé, la version break est disponible sur le site internet belge du constructeur mais elle n’est pas encore sortie en France. Baptisée Estate en Hexagone, elle porte l’appellation Grandtour en Belgique. Voici des informations supplémentaires.
Quelques jours après la révélation de l’arrivée de Renault sur le segment des crossovers avec le Captur, véhicule basé sur la Clio IV, la marque au losange revient sur le devant de la scène avec la version break de la citadine.
À l’avant, la Clio Estate arbore un look identique à celui de la version berline. En effet, on retrouve la nouvelle identité visuelle de Renault, et notamment son logo situé au centre de la calandre. La Clio Estate est bien sûr beaucoup plus grande avec une longueur totale de 4,26 mètres.
Sa face arrière se démarque nettement de la Clio IV par le redressement de la lunette du hayon, un seuil de chargement abaissé et un volume de coffre 30% supérieur (443 litres en configuration 5 places). On note également des poignées de portes arrière intégrées dans les montants. Enfin, ces courbes latérales lui confèrent une allure dynamique et contemporaine.
À l’intérieur, l’habitacle révèle certains aspects pratiques comme les sièges aisément rabattables (dont le siège passager avant) permettant d’embarquer de longs objets.
La Clio Estate/Grandtour sera disponible à sa sortie en deux motorisations : un essence 3 cylindres 900 cm3 et un diesel 1,5l dCi, tout deux de 90 chevaux.
Le « break de chasse », comme l’a surnommé le constructeur de Billancourt, a tous les arguments pour séduire une clientèle familiale. Il incarnera un concurrent de taille vis-à-vis de la Skoda Fabia Combi, de la Seat Ibiza ST et de la Peugeot 508 SW. Notons d’ailleurs que Peugeot met fin a à sa gamme de 207 SW.
Enfin, Renault parle déjà d’une version sport de la Clio Estate qui fera sans doute le bonheur des pères de famille adeptes de conduite sportive.
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