Les motorisations Volvo revues et corrigées
Alors que le Volvo XC90 neuf est enfin au catalogue, le constructeur suédois a décidé de revoir toutes ses motorisations.
Volvo revoit ses moteurs diesel
Et il a effectué cela avec deux objectifs en tête : les rendre plus performantes et moins polluantes. Ainsi, toute la gamme Volvo évolue à commencer par les blocs diesel estampillés « D » qui touchent de nombreux modèles.
Par exemple, la motorisation entrée de gamme diesel D2 passe de 1,6l 115 chevaux à 2,0l 120 chevaux tandis que les trois autres alternatives D3,D4 et D5 passent respectivement en 2,0l 150, 190 chevaux et 225 chevaux. Sachant qu’ils correspondent désormais tous à des quatre cylindres, c’est aussi une grosse économie de coût pour Volvo.
L’hydride D6 conserve quant à lui son cinq cylindres 2,4l mais passe à 220 chevaux au lieu de 215 auparavant. En revanche, la puissance de son bloc électrique ne bouge pas et demeure à 68 chevaux en équivalent thermique.
Même principe en essence
Le procédé est similaire avec les blocs essence « T » avec lesquels on a tout homogénéisé : les T2 et T3 correspondent désormais à des blocs quatre cylindres 2,0l de 122 chevaux et 152 chevaux. Dans le cas d’une boîte de vitesses automatique Geartronic, on rétrograde à 1,5l. Le « gros » T4 et sa transmission intégrale suivent le même principe en expulsant l’ancienne conception au profit d’un nouveau 2,0l de 190 chevaux.
Contrairement à une grande partie des constructeurs, Volvo opte donc pour l’upsizing plutôt que le downsizing. En revanche, afin de réduire ses dépenses en matière de production, il fait quasiment une croix sur une de ses spécificités depuis tant d’années, le cinq cylindres…
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