VVT (Suzuki)

Définition

Quand on achète une Suzuki, on a le choix entre une motorisation diesel, appelée DDiS, et une motorisation essence. Cette dernière porte le nom VVT, ce qui fait référence à la technologie Variable Valve Timing. Moins cher à l'achat mais plus polluant, ce type de moteur convient aux "petits rouleurs" qui effectuent peu de kilomètres par an.

Principe

Pourquoi ? Parce que le surcoût du diesel lors de l'achat de la voiture ne sera pas rentabilisé suffisamment vite : certes le gazole coûte moins que l'essence à la pompe mais si on ne fait pas souvent le plein, cela importe peu. C'est pourquoi les petites autos, destinées à des parcours quotidiens en ville, existent uniquement en essence.

Etat actuel

Sur la gamme actuelle du constructeur japonais, le VVT existe en "petite" puissance avec les Suzuki Alto, Splash et Swift (1,0l 68 chevaux et 1,2l 94 chevaux). Mais on le trouve aussi avec plus de jus sur les Suzuki Swift Sport (1,6l 134 chevaux) et SX4 S-Cross (1,6l 120 chevaux). En revanche, sur les véhicules lourds (Grand Vitara et SX4), le diesel est privilégié.

Evolution

La famille des moteurs essence VVT est née dans les années 2000. On la retrouve majoritairement sur des modèles Suzuki même si le partage de technologie entre constructeurs fait que des autos d'autres marques peuvent également s'en équiper. La version de 120 chevaux sur le SX4 S-Cross est la plus récente.

Anecdote

propres : ce bloc VVT, offrant pourtant une bonne puissance (11 secondes pour le 0 à 100 km/h) enregistre seulement 127 g/km de CO2 et 5,5 litres au 100 en moyenne. De plus, il respecte déjà la future norme Euro 6.

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