Opel Cascada : retour à la capote souple

Alors que le salon de Genève ouvrira ses portes au grand public dès après-demain (le jeudi 7 mars), la presse, elle, y est conviée dès à présent. Elle s’est d’ailleurs déjà accumulée à plusieurs reprises sur le stand de l’Opel Cascada, une décapotable « old-school » au toit souple.

Pour relancer la vente Opel sur le segment des cabriolets, le constructeur allemand est revenu quelques années en arrière, quitte à déplaire aux férus de technologie : fini le système moderne de toit rétractable en tôle et retour à la bonne vieille capote en tissu bien plus sexy.

Du long de ses 4,70 mètres, cette « déclinaison cabriolet » de l’Astra est plutôt imposante. Heureusement que son look tient la route et qu’il charme au premier coup d’œil : quatre vraies places assises, profil élancé et dynamique, arrière parcouru d’une baguette chromée… L’Opel Cascada n’a rien à envier de la concurrence.

D’autant qu’elle abrite, comme nous vous le disions, une capote souple bien plus esthétique. L’emploi de ce système est également moins contraignant en termes de poids et de diminution du volume de coffre. Ce dernier plafonne ainsi à 380 litres.

La manœuvre de capotage-décapotage, quant à elle, reste évidemment électrique et ne prend que 17 petites secondes, à condition que l’on ne franchisse pas la barre des 50 Km/h. Le cas échéant, elle est verrouillée.

Côté performance, l’Opel Cascada ne fait pas moins que 140 chevaux. Et oui, c’est un cabriolet donc il faut un minimum de puissance pour faire voler ses cheveux ! L’allemande propose même le tout dernier 2.0 CDTI de 195 chevaux, un bloc diesel qui n’a pas froid au yeux.

Date de sortie et prix : dans les mois qui viennent à partir de 30 000 euros.